Lettre du 16 décembre 2010 à Gregory villemin

Mon tout petit bonhomme, Mon Titi, mon petit ange ton sourire me hantera toute ma vie. Tes yeux, ce regard implorant, apeuré ou joyeux qui a été le dernier pour ton meurtrier. Grégory, Quelles furent tes dernières paroles? As tu rie? Pleurer ? As tu été effrayé? Qui t'a assassiné, le 16 octobre 1984, voilà 26 ans ? Qui a pu et pourquoi? Connaîtrons nous un jour la vérité? Les analyses permettront-elles de comprendre? En tout cas, mes larmes coulerons toujours pour toi, petit bou soit fier de tes parents leur combat pour la vérité est noble et courageux. J'entends souvent ton rire en écho, ce rire si enfantin celui d'un petit garçon de 4 ans, trop rapidement privé de câlins, et de jeux. Je te vois sourire et danser sur les tubes de Michael Jackson dans les nuages. Je t'aime, repose en paix. Pardonne moi si cette lettre est un peu tâchée, mais ce sont mes larmes qui ont coulées. Je mets ton Kiki, celui que tu aimais tant pour que tu puisses le serrer fort dans tes petits bras. Je déposerais un paquet pour toi sous l'arbre de noël, sache que cette fête sans toi m’attriste. Pour me consoler, j’imagine tes yeux pétillants d'émerveillement à la venue du père noël, déballant tes cadeaux avec empressement. Des voitures, des legos, des peluches."Oh zoli" tu dirais, je t'entends dans les nuages.

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BEBE Hommage decés enfant

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